Au sortir de ces deux années de crise sanitaire et avec pour objectif de permettre à l’entreprise de continuer à se développer et de créer les conditions pour permettre l’avènement du « rêve » qui a été fait depuis 2018, il est important de pouvoir compter sur une ouverture des perspectives. Dans ce sens, le nouveau département Développement et Innovation trouve sans conteste sa place au sein de notre institution en repensant le système organisationnel, en mettant au centre l’humain dans toute sa complexité et en créant de l’agilité, sa mission est d’ouvrir le champ de l’innovation pour s’inscrire dans les défis du futur.
En 2021, pour sa première année d’existence, l’activité n’a pas manqué avec notamment le travail sur la maîtrise des projets et le développement de l’objectif EVE, fruit des travaux combinés sur l’implémentation du modèle Curaviva, plus axé sur la pratique, avec le développement d’un modèle « AEDIS Saphir », reprenant ainsi plusieurs philosophies pour devenir un fondement de la culture d’entreprise.
L’intégration des nouvelles pratiques liées au modèle AEDIS dès l’ouverture de l’EMS Montchoisi a amené passablement de visibilité pour la Fondation, avec un investissement majeur de ressources afin d’accompagner les équipes sur le terrain notamment. Ainsi l’intention de notre institution est d’interpeller l’Etat car la mise en place de nouvelles approches bouleverse certains fondamentaux et pratiques, de même que le financement, raison ayant motivé la visite de la Conseillère d’Etat Rebecca Ruiz à la Fondation.
Et cette volonté d’innovation de la Fondation trouve son sens dans le programme Vieillir 2030 du DSAS, pour lequel un appel à projets a été lancé dernièrement auquel la Fondation a répondu présent par le dépôt de trois intentions de projets d’importance.
Alors 2022 et les suivantes seront à n’en pas douter captivantes et chargées en termes de projets mais également d’idées audacieuses.
David Favre, directeur développement et innovation
